Francis Ballanger

Dans mes premières années, j'avais du mal à comprendre comment le garçon qui vivait chez nous était un cousin et pas un frère (quelle différence ?). C'est resté, et pour moi Francis est toujours le grand frère, qui s'occupait de nous, était parti à la guerre d'Algérie, avec lequel on parlait du rugby de Libourne, et que je voyait de temps en temps à l'occasion des cousinades par exemple. Je suis dans l'impossibilité de venir vous retrouver demain, mais je penserai bien à vous. J'espère bien avoir le plaisir de vous revoir. A très bientôt, Jean.