Xavier Charles

Quand quelqu’un qu’on aime devient un souvenir, le souvenir devient un trésor.

Une grande pensée à ce jeune tonton qui m'enleva mes roulettes de mon vélo quand j'étais petite. Je m'en souviens encore... il était tout fier de lui pendant que moi je me demandais bien comment il s'était permis d'enlever mes roulettes ! Toutes mes condoléances à Sandrine, Perrine et Vincent.

Xavier, tu m’as toujours bien accueilli et je t’en remercie. Je n’oublierai pas ta gentillesse, ta bienveillance mais aussi ton côté taquin que tu entretenais avec plaisir. « La chieuse » te souhaite de reposer en paix. Sandrine, Vincent, Perrine encore une fois, bon courage à vous et mes sincères condoléances.

Mon cher Xavier, tu fus mon ami, mon frère, celui que je n'avais pas eu comme dit la chanson. Pendant toutes ces années parisiennes, nous formions un beau duo de clowns, tantôt joyeux, tantôt tristes.. Tristes juste histoire d'avoir un prétexte pour aller boire une bière, et.. redevenir joyeux. Dans nos pérégrinations nocturnes, souvent sans prévenir, toujours une bonne âme pour nous accueillir, n'est-ce pas Domi et Bruno ? Puis ensuite Sandrine et toi avez été ma deuxième famille, et ma famille tout court. Tant de souvenirs ensemble, comme le privilège de donner les biberons à Perrine et Vincent. Pas peu fier que j'étais. Bien que nos chemins au fil du temps se soient éloignés, Xavier, l'intensité de toutes ces années passées avait bien de quoi remplir nos pensées les uns pour les autres pour longtemps. Je retiens de toi, ta droiture, ton élégance, ta fidélité. Ton côté vachard ? Eh oui t'étais comme ça toi, arriver sans prévenir et voilà que t'es parti sans prévenir. Vieux chameau ! Sandrine, Perrine, Vincent, vous avez tout mon amour. Christophe

Sincères condoléances à la famille. Xavier je t’ai retrouvé il y a plus d’un mois au bureau de poste de chez moi avec un grand plaisir. Nous avions évoqué mon départ à la retraite et le super cadeau de Sandrine. Tu restes dans mon cœur et je prie pour toi et ta famille. Ta gentillesse nous manquera.

La vie nous a éloigné mais beaucoup de tristesses à l'annonce de ton départ. Tout mon soutien à ta femme et tes enfants.

Salut Xavier, le ronchon, le grognon, le maniaque.....c'était la facette au travail, quoique maniaque tu l'étais aussi en dehors, on ne se refait pas, n'est ce pas Sandrine. Tu as tiré ta révérence beaucoup trop tôt. Mes pensées vont vers vous Perrine Vincent et Sandrine, je vous souhaite tout le courage nécessaire pour affronter le vide que tu leur laisse.

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de notre collègue, ami et camarade Xavier Charles. Nous tenions à faire part à sa femme Sandrine, à sa famille, à ses amis et à ses proches de nos sincères condoléances et de notre profonde peine. Nous n'oublierons pas celui qui hier était dans le combat avec nous et qui nous avait ouvert la porte de sa maison tellement il faisait froid. Pour le Syndicat Force Ouvrière Communication Postes Gironde, son secrétaire départemental, Eric MATHEZ.

Quel grand choc tu nous fais Xavier. Cela fait un bail qu'on ne s'était pas vu mais tu aurais pu attendre quand même encore quelques années. Tu aimais te faire passer pour un bougon mais en fait, tu étais un grand gentil avec un grand cœur. Et ça tu ne diras pas le contraire, tu étais un peu, beaucoup maniaque sur les bords. Une petite anecdote que je me souviens : la première fois que tu as fait connaissance de notre grand-mère à St-Florentin, tu étais en voiture avec Sandrine. Mémère me raconte : "Sandrine s'arrête en voiture et dit : Mère-Grand monte, je t'emmène et c'est alors que j'ai vu un grand échalas se déplier pour me laisser monter". Que de beaux souvenirs avec toi Xavier, entre autres la naissance de Perrine et Vincent, les longs repas quand la famille était encore au grand complet. Nous ne t'oublierons jamais. Claudine, Pierre, Fabien et Kenza.

Xavier, quel choc et quelle tristesse d'apprendre ton décès. Collègue rigoureux et ordonné, on pouvait toujours compter sur toi (sauf pour la téléphonie c'était pas ton truc). Je me souviens de nos discussions et je sais que tu étais très fier de tes enfants... Courage à tes proches, sincèrement. Valérie